GENTILLESSE : des bienfaits scientifiquement prouvés
Selon des observations d'IRM, la gentillesse et
les actes de générosité (dons, bénévolat, etc.) activeraient la partie du cerveau qui libère les endorphines*.
Dans une partie consacrée aux bienfaits scientifiquement prouvés de la gentillesse et de la générosité, on apprend dans un rapport publié sur ce thème par des scientifiques canadiens qu'aller vers les autres (en s'investissant par exemple dans des associations humanitaires en tant que bénévole), c'est aussi engranger des bénéfices pour soi à court et long terme.
Selon certaines de ces études, les personnes ayant des activités bénévoles obtiennent des scores supérieurs à la moyenne en termes d'évaluation du sentiment de bonheur, de la qualité de vie et de l'estime de soi. De fait elles sont moins dépressives !
*Appelés aussi les hormones du bonheur, les endorphines (ou endomorphines) sont des peptides, c'est-à-dire de courtes chaînes d'acides aminés ; on les qualifie d' opioïdes car ils ont une action similaire à celle de l'opium et de la morphine. Ils ont été découverts par J. Hugues en 1975. Ils sont fabriqués principalement au niveau de l'hypophyse et l'hypothalamus et localement à la jonction entre les neurones ; ils peuvent, au moins pour la bêta-endorphine, passer dans la circulation générale et être dosés. On trouve des récepteurs à endorphines également dans la peau, les intestins, le cœur et d'autres organes.
Sources : www.psychologies.com